Méditation 228: Cette foi que tu as....
Texte lu
Romains 14:14-23; 15:1-3
Je sais et je suis persuadé par le Seigneur Jésus que rien n’est impur en soi, et qu’une chose n’est impure que pour celui qui la croit impure. Mais si, pour un aliment, ton frère est attristé, tu ne marches plus selon l’amour : ne cause pas, par ton aliment, la perte de celui pour lequel Christ est mort. Que votre privilège ne soit pas un sujet de calomnie. Car le royaume de Dieu, ce n’est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit. Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes. Ainsi donc, recherchons ce qui contribue à la paix et à l’édification mutuelle. Pour un aliment, ne détruis pas l’œuvre de Dieu. A la vérité toutes choses sont pures ; mais il est mal à l’homme, quand il mange, de devenir une pierre d’achoppement. Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin, et de s’abstenir de ce qui peut être pour ton frère une occasion de chute, de scandale ou de faiblesse. Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même dans ce qu’il approuve ! Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu’il mange est condamné, parce qu’il n’agit pas par conviction. Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction est péché. Nous qui sommes forts, nous devons supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, et ne pas nous complaire en nous-mêmes. Que chacun de nous complaise au prochain pour ce qui est bien en vue de l’édification. Car Christ ne s’est point complu en lui-même, mais, selon qu’il est écrit : Les outrages de ceux qui t’insultent sont tombés sur moi.
Enseignement
Il y a des choses que nous faisons parfois de manière inconsciente, sans nous rendre compte des conséquences spirituelles qu'elles peuvent avoir.
Pour éviter tout risque de scandaliser un frère et d'anéantir l'oeuvre de Dieu dans sa vie, nous devons nous atteler à des actes qui renforcent la justice, la paix, l'amour et la joie dans le Seigneur. Il faut constamment se rassurer que les actes que nous voulons poser servent pour l'édification de tous.
Ceux qui se sentent forts dans la foi doivent s'atteler à porter les infirmités des faibles. Cela signifie que le fort doit, en face du faible, freiner ses ardeurs et se soumettre aux préférence de ce dernier. Ceci revient à abandonner ses désirs et ses plaisirs pour le bien-être et l’épanouissent spirituel de l'autre.
L'objectif dans une telle attitude c'est le bien (approuvé par Dieu), l'édification et l'amour du prochain, tels que le Seigneur les recommande.
Imitons Jésus-Christ, lui qui, de fort qu'il était, a abandonné sa gloire, s'est abaissé jusqu'à devenir faible en portant nos infirmités.
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